je fais pleins de choses
-2000 avant J.C. Bienvenue en Mésopotamie. A cette période, tout comme en Egypte Antique, la consommation culturelle, est utilisée pour rendre hommage aux divinités. Au fur et à mesure de la construction de ce nouvel épisode, il m’a paru évident d’appuyer cet aspect. Nous nous intéresserons aux croyances à travers l’art et la culture. Cette consommation, toute autre que celle que nous connaissons aujourd’hui, mais alors, que nous dit la Mésopotamie ?
Considérée comme le berceau de la civilisation, La Mésopotamie fascine le monde et l’archéologie. En matière de transmission culturelle, c’est chez elle que l’on retrouve les plus vieux écrits de notre histoire.
Et ce en grande partie grâce aux croyances. Je trouve fascinant tout ce que celles-ci ont motivé comme imagination et détermination chez les Hommes. Ce sont également les travaux issus de ses croyances qui aujourd’hui nous sont transmis, majoritairement, pour apprendre des cultures précédentes. Que l’on y croit ou pas, cet aspect à guidé les peuples, les a faits vivres, et permit de réaliser ce que l’on appelle les Merveilles du Monde…

La société Mésopotamienne vit une sorte de mise à jour. Sa politique est remise à niveau, et la scène artistique ainsi qu’intellectuelle, émerge peu à peu. Cette nouvelle société permet à présent une expression plus générale et plus large qu’auparavant. Il s’agit toujours de rendre hommage, mais la liberté d’expression ne se résume plus seulement qu’à la vénération. Et c’est grâce à ces croyances et à l’imagination que la porte d’Ishtar sortie de Terre. Elle fût la huitième porte de la ville, et celle de l’entrée principale.
La porte d’Ishtar est une référence à la Déesse Babylonienne, Ishtar, déesse de la fertilité, de l’amour, de la guerre. Sa splendeur lui vaudra également d’être dans le classement des 7 Merveilles du Monde Antique.
La Mésopotamie, a marquée incontestablement le monde par son évolution, ses sociétés, ses villes et ses savoirs, avec notamment l’écriture. Elle a permis aux Mésopotamiens de faire vivre leur culture. Avec « L’épopée de Gilgamesh”, qui est le plus vieil écrit retrouvé, la plus histoire de l’humanité. Elle raconte l’histoire du roi Gilgamesh et de la vie selon les sociétés de l’époque, permettant de transmettre les savoirs, à travers ce que l’on considère nous aujourd’hui comme des mythes.

Bristish Museum
Vous comprendrez donc pourquoi il est si difficile de parler de consommation culturelle pour toute cette partie de l’Histoire, tant ce concept était détaché de ce que l’on en fait aujourd’hui. La consommation était bien réelle, mais devait servir à quelque chose, non pas seulement pour posséder. Tout cela devait avoir un sens, un objectif utile. Dans ce contexte Mésopotamien, peut-on dire que la consommation culturelle se faisait par la transmission de savoir et d’apprentissage ? Par les hommages rendus aux divinités ? Était-ce une façon de consommer ?
TO BE CONTINUED….